Lise et Toscane sont les dernières. Toscane propose un jeu à Lise ...

Lise : Non, j'ai pas envie. je t'ai dit, j'ai pas envie, alors j'ai pas envie. Si je te dis non, c'est non, ça veut dire, j'ai pas envie, (etc., etc. ! ...)

Toscane : allez ...

Lise : Non, j'ai pas envie. je t'ai dit, j'ai pas envie, alors j'ai pas envie. Si je te dis non, c'est non, ça veut dire, j'ai pas envie ...

C'est bon, Lise, tu peux arrêter, je crois qu'elle a compris. Tout le monde a compris d'ailleurs !

Lise : ben oui, je lui esplique !

La mairie a changé de couleur dans notre village.

Lise : Avant cette maison était rose, maintenant, elle est bleue.

Oui, tu as raison et sais-tu comment s'appelle cette maison ?

Lise : Non ?

Toscane : la mairie.

Lise : Ah oui, et je sais, il y a un monsieur qui habite là.

Et sais-tu comment on appelle ce monsieur ?

Toscane : le maire.

Lucile : Et la Madame, elle s'appelle comment ?

Depuis que Toscane a donné le biberon à un petit cousin, elle sait exactement comment nourrir un bébé au biberon. Elle explique et Camille écoute avec beaucoup d'attention et d'intérêt.

Trop mignon !

Ça piaille dans tous les sens, mais les histoires de Lise et Lucile sont bien différentes de celles de Charline et Toscane !

Au milieu du bruit, elle se concentre sur les livres choisis ...

Ne pas la déranger !

Dans les prochains temps, il y aura beaucoup de photos très colorées ... avec cette dînette !

Lise a préparé une belle table pour sa poupée.

Mais, elle peut manger tout ça, tu crois ?

Ben oui !

Ah, elle a déjà des dents ta poupée ? Tu crois vraiment qu'elle

va réussir à manger un hamburger et des frites ?

Ben, elle a une dent, ça suffit, non ? 

Ok, si tu le dis !

Bon, finalement, elle lui a quand même fait boire un peu de lait ... directement à la bouteille ! Elle ne savait plus où était le biberon !

Question à Charline, Lise et Toscane. Lucile et Camille étaient déjà parties.

Combien coûte une glace ?

5 euros pour Toscane, 9 euros pour Lise et au moins 10 euros pour Charline.

Combien coûte l'assiette hamburger et frites de la poupée ?

10 euros pour Lise, 13 euros au moins pour Charline, et 20 euros pour Toscane.

Toscane : en fait, j'ai des sous dans ma tirelire, je compte mes sous, mais je sais pas vraiment à quoi ça sert.

Comment fait-on pour avoir des sous ?

On travaille pour avoir de l'argent et après on peut acheter des trucs.

Quoi, par exemple ?

Lise : des frites ?

Oui, et quoi d'autre ?

Lise : ben, encore des frites.

Fin de journée. Il est temps de se calmer.

Toscane lit pour Lise, et Charline pour Lucile.

Allez, on range, et on se prépare pour retourner à l'école ...

Pour cette dernière période, j'ai rangé les animaux et sorti la dînette et ... la fameuse caisse enregistreuse !

On se serait vraiment cru jour de marché chez la Nounou !

Charline, Lise et Lucile sont de retour. La joyeuse bande était contente de se retrouver au complet.

Gros fou rire de Toscane à table à midi. Benjamin est malade. Bon, normalement, ce n'est pas drôle ! Mais bon, il tousse beaucoup et quand il tousse, on dirait le cri d'un canard. Pour être tout à fait exacte, cela ressemble au cri que fait le vilain petit canard dans un dessin animé que nous avons vu il y a longtemps !

Précisément dans ce dessin animé (vers 6 mn 40 environ). Du coup, à l'époque, pour rire un peu, j'avais dit que Benjamin avait la coincoingite ! Depuis, chaque fois que Benjamin est à nouveau malade, les enfants disent : ah, il a encore la coincoingite !

Et pour une raison que j'ignore, précisément aujourd'hui, et à ce moment précis, cela a beaucoup fait rire Toscane. mais, alors, vraiment beaucoup, beaucoup. On aurait dit que la machine a rire ne pouvait plus s'arrêter ! Elle était écroulée de rire et cela a duré un long moment !

De temps en temps, elle faisait une pause. Pour respirer, peut-être ? Et c'était reparti de plus belle !

Même Camille ne pouvait pas s'empêcher de rire avec le fou rire de Toscane.

Et, je ne vous raconte pas le bruit ! Entre le fou rire de Toscane et la vraie toux de Benjamin, c'était extrêmement bruyant. Heureusement, au bout d'un certain temps, l'un des deux s'est arrêté ... ce n'était pas Benjamin ! Hélas pour lui !

Au moins, nous avons tous passé un repas très joyeux !

Petite promenade - toute petite tellement il faisait chaud chez nous- avec la Reine du printemps ! A croire que sa couronne de fleurs a vraiment un impact réel sur notre climat ...